Découvrez les idées clés de M. Seth Osafo, conseiller juridique du Groupe africain des conseillers, qui a approfondi les complexités des négociations internationales sur le changement climatique. Au cours de cette séance instructive, M. Osafo a souligné l'importance de comprendre les contextes historiques et les déclencheurs tels que les rapports du GIEC et les résolutions de l'ONU. Il a souligné l'importance d'une préparation efficace, notamment en révisant les ordres du jour des conférences, en menant des consultations avec les parties prenantes et en collaborant avec des groupes régionaux comme le Groupe africain des négociateurs pour garantir des positions nationales cohérentes. M. Osafo a également souligné la nécessité de délégations nationales inclusives, comprenant diverses expertises des ministères et parties prenantes concernés, pour améliorer la représentation et l'alignement des intérêts sur les plateformes mondiales.
Découvrez un aperçu complet des accords internationaux clés sur le climat avec M. Seth Osafo. Lors de la session #2 de notre série sur le renforcement des capacités, M. Osafo, s'appuyant sur sa vaste expérience des négociations sur le climat depuis 1991, a exploré l'évolution d'accords clés : la CCNUCC, le Protocole de Kyoto et l'Accord de Paris. Créée en 1992 avec une participation mondiale, la CCNUCC visait à stabiliser les concentrations de gaz à effet de serre. Le Protocole de Kyoto (1997) qui a suivi a imposé des objectifs de réduction des émissions aux pays développés, tandis que l’Accord de Paris (2015) représente un effort historique pour lutter contre le changement climatique. La séance a mis en évidence les complexités de la coopération mondiale et les responsabilités différenciées entre les pays développés et les pays en développement, en mettant l'accent sur les défis et la dynamique actuels des négociations internationales sur le climat.
Rejoignez-nous le 16 juillet 2024 à 10h00 (GMT) pour une exploration approfondie des principaux points à retenir de la décision historique sur l'adaptation prise lors du premier Bilan mondial (GST). Ce webinaire est hébergé par l'iGST WA Hub, la session présente Jingjing Gao, un scientifique du PNUE-CCC, qui fournira une analyse experte de la première décision de la TPS sur l'adaptation.
Session de renforcement des capacités du iGST WA Hub #1 dirigée par M. Walters Tubua, figure éminente de la Convention-cadre des Nations Unies sur les changements climatiques (CCNUCC). M. Tubua, fort de sa vaste expérience et de son leadership dans les questions de changement climatique, a donné un aperçu éclairant du premier bilan mondial, un élément central de l'Accord de Paris.
L’un des principaux thèmes de la séance était la double approche – descendante et ascendante – nécessaire pour atteindre les objectifs climatiques. M. Tubua a expliqué comment le bilan mondial s'inscrit dans les objectifs plus larges de l'Accord de Paris. Il a détaillé le processus de définition des engagements par le biais des contributions déterminées au niveau national (NDC) et des rapports ultérieurs, soulignant le rôle du bilan mondial pour encourager les parties à renforcer leurs engagements.
L'urgence de l'action climatique n'a jamais été aussi prononcée, et l'événement parallèle du SB60 organisé le 7ème La réunion de juin 2024 à Bonn, en Allemagne, a constitué une plateforme cruciale pour discuter de la mise en œuvre des contributions déterminées au niveau national (CDN). Modéré par Josefina Cobián de la Fondation ClimateWorks, l'événement intitulé « Mise en œuvre des NDC : dernières sciences du climat et perspectives régionales sur la transformation de la GST en action » a réuni un groupe diversifié d'experts de différentes régions du monde, dont le Dr Kwame Hackman, un scientifique principal à WASCAL et coordinateur du hub régional iGST pour l'Afrique de l'Ouest, pour partager des idées et des stratégies sur le sujet. Après avoir préparé le terrain avec des présentations principales sur les tendances des émissions et les stratégies de mise en œuvre du paquet TPS sur l'énergie à travers une feuille de route d'action granulaire, des perspectives régionales de l'Afrique de l'Ouest, de l'Amérique latine et des Caraïbes et de l'Asie du Sud-Est ont été présentées. Cela a été suivi d'une discussion sur les obstacles potentiels à la mise en œuvre de la première décision sur la TPS lors de la prochaine série de CDN (NDC 3.0) qui sera soumise d'ici février 2025 (au moins 9 mois avant la CMA7 en novembre 2025). Enfin, les experts ont souligné les initiatives régionales en cours qui faciliteront l’intégration de la décision TPS conduisant à de plus grandes ambitions climatiques.
Faire face à la crise énergétique en Afrique de l’Ouest
Le Dr Kwame Hackman du Centre de services scientifiques ouest-africains sur le changement climatique et l'utilisation adaptée des terres a discuté de la nécessité urgente de répondre à la crise de la demande énergétique en Afrique de l'Ouest en utilisant les technologies émergentes d'énergies renouvelables. Ceci, a-t-il déclaré, est important pour garantir que la région, malgré ses faibles émissions, ne recoure pas à des sources d'énergie qui suivront la même trajectoire que d'autres régions ont suivie et sont désormais tenues d'inverser en raison des niveaux élevés d'émissions. En conséquence, tout en saluant les efforts déjà soutenus par WASCAL avec le financement du ministère fédéral allemand de l'enseignement supérieur et de la recherche (BMBF), le Dr Hackman a souligné la nécessité d'un investissement direct qui permettrait d'aller au-delà des études pilotes de faisabilité et des initiatives de renforcement des capacités. liés à la production d’énergie renouvelable à la production réelle.
Transformer l'énergie en Amérique latine et dans les Caraïbes
Mariana Gutierrez d'Iniciativa Climática de Mexico a souligné la nécessité cruciale de transformer le secteur énergétique en Amérique latine. Elle a souligné trois conditions clés nécessaires à cette transition :
Renforcer les arrangements institutionnels : garantir que les processus de prise de décision sont transparents, responsables et inclusifs de la société civile et des communautés affectées.
Construire des structures financières : soutenir une transition énergétique juste grâce à des mécanismes financiers et à la formation des compétences de la main-d'œuvre.
Créer des cadres réglementaires : établir des incitations et des normes claires pour l'élimination progressive des combustibles fossiles et intégrer les considérations climatiques dans la planification et les budgets nationaux.
Ces mesures, a souligné Mariana, sont essentielles pour accroître l'ambition, garantir une mise en œuvre efficace et favoriser la coopération internationale, en mettant l'accent sur l'équité, la justice et la transparence.
Décarbonisation en Asie du Sud-Est
Danica Marie Supnet de l'Institut pour le climat et les villes durables (ICSC) a partagé ses connaissances sur les secteurs clés de la décarbonisation en Asie du Sud-Est, en particulier les secteurs de l'énergie, de la foresterie et de l'utilisation des terres. Des défis tels qu'une planification énergétique incohérente, le sous-investissement dans la modernisation du réseau électrique et la nécessité d'une gestion durable des forêts ont été discutés. Danica a souligné l'importance de signaux politiques et politiques forts dans des pays comme l'Indonésie et les Philippines pour diriger ces efforts.
Élargir la discussion : aperçus de la séance de questions-réponses
Le panel est ensuite passé à une séance de questions-réponses dynamique, au cours de laquelle les discussions ont été centrées sur les défis et les opportunités associés à l'intégration de la première décision sur la TPS dans le NDC 3.0. Des sujets tels que la réduction des risques liés aux investissements, le renforcement des capacités (en particulier ceux qui démystifient la décision mondiale en matière de TPS en ambitions régionales facilement compréhensibles), la disponibilité de ressources financières adéquates et l'intégration de la résilience climatique dans la planification ont été explorés. Les discussions ont souligné l'importance des investissements sectoriels nationaux spécifiques au contexte et la nature essentielle de la compréhension et de l'intégration des décisions du Bilan mondial (GST) dans les activités régionales.
Conclusion : un appel unifié à l’action
L'événement parallèle s'est terminé par un appel unifié à relever les défis de mise en œuvre de l'Accord de Paris grâce à une ambition accrue, des investissements stratégiques et des ajustements politiques réactifs. Les idées partagées ont souligné la nature interconnectée des efforts mondiaux et régionaux nécessaires pour lutter efficacement contre le changement climatique.
L'événement parallèle a non seulement fourni une plate-forme pour partager de précieuses perspectives régionales, mais a également renforcé l'engagement mondial à transformer les objectifs de l'Accord de Paris en stratégies concrètes. À l’avenir, les enseignements tirés et les stratégies discutées joueront sans aucun doute un rôle crucial dans l’élaboration des futures actions climatiques dans les trois régions.
L'iGST WA Hub recherche des projets de petites subventions au sein du Hub. Si vous faites partie de notre réseau, saisissez cette opportunité pour présenter vos idées et contribuer aux initiatives cruciales liées au climat dans la région.
Nous sommes à la recherche de projets axés sur les efforts locaux d'adaptation et d'atténuation, le renforcement des capacités, le développement technologique, la sensibilisation, ainsi que la recherche et l'observation systématique en Afrique de l'Ouest.
Cet appel est exclusivement ouvert aux membres iGST WA Hub. La fenêtre de candidature débute le 25 mars 2024 et se termine le 25 avril 2024 à 23h30 GMT. Envoyez vos propositions à igstwahub@wascal.org .
Pour plus d'informations, les candidats peuvent se référer aux termes de référence et/ou contacter le secrétariat à igstwahub@wascal.org.
Les organisations de la société civile et le bilan mondial : le cas indépendant du Global Stocktake (iGST) West Africa Hub. (8ème septembre 2023 ; 15h00 – 16h00, heure de l’Afrique de l’Est)
Cet événement a été organisé dans le cadre de l'opérationnalisation du hub régional iGST pour l'Afrique de l'Ouest, pour 1) faciliter la socialisation entre toutes les OSC concernées par le Bilan mondial (GST), 2) partager les meilleures pratiques en vue de la formation et de l'opérationnalisation d'un hub de la société civile. à partir d'une approche ascendante, 3) présenter l'orientation initiale du Hub conformément à la TPS, et 4) discuter de l'optimisation des activités complémentaires entre les OSC et les Parties. Le
Comment le Bilan mondial peut-il faciliter le programme régional de croissance verte grâce à la mise en œuvre de l’adaptation et au renforcement de la résilience ? (6ème septembre 2023 ; 8h00 – 9h00, heure de l’Afrique de l’Est)
Le centre régional iGST Afrique de l'Ouest dirigé par WASCAL et CSIR Afrique du Sud a co-organisé l'événement avec son bailleur de fonds, la Fondation ClimateWorks, et ses partenaires iGST, à savoir le Centre climatique du PNUE de Copenhague et l'Institut indien de gestion d'Ahmedabad. TL'événement a exploré le potentiel de croissance verte de la région en envisageant les résultats de la TPS et en discutant du rôle de la société civile, en particulier du secteur privé, dans ce processus.
Ce site utilise des cookies pour vous offrir une meilleure expérience de navigation. En naviguant sur ce site, vous acceptez notre utilisation des cookies.
Français 
English (UK) 
